En moi j'ai des démons, des démons qui me poursuivent jour et nuit.
Je vous ai parlé de ma dépendance affective et bien celui-ci dernièrement et il ne me lâche pas. Il réussit à me faire oublier des choses et réussit à me faire remettre en question mes priorités.
En mars je commence une autre thérapie pour apprendre à l'apprivoiser, mais d'ici là je le combat sans armes et il est très puissant. Il a plusieurs tours dans son sac.
Son dernier coup, facebook. Mon vendeur m'a envoyé une demande d'amis et un message. Et je ne sais pas quoi faire. Je pèse les pour et les contre et mon démon efface les contre au fur et à mesure que je les découvre. Mon démon veut plus que tout et moi je me laisse convaincre de ce besoin d'être entourée, comprise et aimeé.
J'accepte ou pas, ce n'est que facebook et j'ai rien dans le mien.
Un ami ça ne peut pas faire de mal non? Mais pourquoi ce combat et les larmes alors? Tout ne peut pas être négatif et je ne peux pas être sur la déffensive toute ma vie. Est-ce que j'aime souffir ou si c'est seulement mon démon qui gagne encore une fois?
7 commentaires:
J'aurais tendance à te dire d'accepter. Un ami, c'est toujours bon.
Mais je ne connais pas tous les détails de ta vie et tout ce que tu fais hésiter.
La mieux placer pour le savoir, c'est toi...
La dépendance affective nous affecte tous et à des degrés différents selon les individus.
J'ignore encore à quel point tu es tourmentée par ce démon comme tu le nommes et comme je te visite pour la 1ère fois, je vais aller lire ton billet à ce propos.
Pour le moment, j'ai trouvé ce texte qui parle de se renier par la dépendance affective. Il a été écrit par Michelle Larivey, psychologue.
Peut-être qu'en attendant les thérapies, tu pourrais jeter un oeil à ce qu'elle propose comme solution ? On ne sait jamais... ;)
Oups, voici le lien :
Se renier par la dépendance affective
Je ne comprends pas le facebook. Il faut que tu lui donnes une liste d'amis ? Dis non, c'est du privé. Quand tu le connaîtras mieux, on peut partager mieux et révéler plus, s'il le faut, mais en tout cas, même dans une amitié il y a des limites. Un ami le comprendrait.
Avant facebook, on se connaissait lentement et tête à tête. J'ai des amis avec qui je ne parle pas de mes autres amis... à mon avis, c'est cette technologie qui pèse sur nous, qui nous demande d'agir d'une manière peu naturelle.
Ouf...
J'ai passé au travers de ton blogue, ou presque. Je suis remontée loin. J'aimerais t'aider, mais je comprends que ça me dépasse, surtout les crises de panique. J'en ai eu seulement une dans ma vie - ça terrasse...
Je lis pour la thèse ces temps-ci des ouvrages sur sa perception de compétence et l'anxiété. Ils démontrent que l'identification de la menace et la croyance en ses capacités à la surmonter sont la clé de la réussite. C'est ce qui donne le poids aux diverses techniques. De façon étonnante, beaucoup disent que des cours d'autodéfense augmentent la confiance en soi et à faire face à la menace (même une menace ambiguë de type indéfini). Même chose pour des cours de gestion du stress. C'est de reprendre le contrôle sur soi et d'avoir confiance en ses capacités.
xxx
Je suis forcé d'en parler ici mais si je ne m'abuse, ton texte me redirige vers une page qui n'a pas rapport...
Voici le lien : iGoogle
À moins que ce soit volontaire ?
@Jeff: J'avais fait un billet sur un probl;eme que j'avais avec iGoogle depuis quelques temps, mais comme par miracle cleui-ci s'est résolu dans les secondes qui ont suivie mon billet, donc je l'ai supprimer.
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